a propos de moi

La Billig à RouletteS : pourquoi?

D'une passion, un métier

Cela fait trente ans que nous passons, ma petite famille et moi, nos vacances d’été dans la maison de mes parents, dans le Golfe du Morbihan.

Lors d’un baptême en Bretagne, le traiteur proposait une formule galettes et crêpes à volonté. J’ai tout de suite accroché à ce concept. L’idée du “Foodtruck” naissait.

Je me suis alors intéressé, en simple amateur, à la fabrication de la galette de blé noir en m’entrainant durant chaque vacances en Bretagne.

Il y a six ans, mon cousin, qui m’entendait très souvent évoquer cette idée, se lança dans cette aventure. De mon côté, l’idée continuait de murir dans ma tête mais, étant pris à cent pour cent sur un autre emploi, elle restait au stade de projet.

En septembre 2020, après 21 ans de bons et loyaux services, je fais partie d’une vague de licenciement économique avec 25 collègues.

La période de la Covid, suivie d’un licenciement économique après 21 ans au sein de la même entreprise, m’ont permis de faire murir et faire concrétiser mon projet. A mes yeux, cette envie de revenir à des fondamentaux de la vie prenait de plus en plus de sens.

Après une formation de 5 jours en Bretagne, à Questembert, par un maitre crêpier, je n’avais plus aucun doute sur le nouveau virage à prendre dans ma vie.

J’ai ainsi transformé ce qui pouvait être une catastrophe, en opportunité de reconversion.

Ce projet n’aurait jamais pu voir le jour sans le soutien primordial de ma famille.

Mon parcours

BTS Exploitation des véhicules à moteur en poche, j’ai démarré ma carrière en tant que mécanicien dans le garage familial avant mon service militaire. J’ai ensuite travaillé chez Ford pendant plus de sept ans (en tant que réceptionnaire). Repéré par un partenaire, j’ai été recruté comme consultant informatique après-vente pour installer un tout nouveau logiciel en France dans les concessions automobiles. 

Je suis resté vingt et un ans dans cette société, en occupant différents postes, pour finir responsable de sept consultants afin de gérer le déploiement de nos solutions informatiques. 

J’ai toujours apprécié le contact aux autres. J’ai également été trésorier, puis président d’une association à vocation sportive et sociale. À mon arrivée, nous étions 50 adhérents dont une équipe de rugby loisir et une école de rugby. Huit ans plus tard, lorsque j’ai passé la main, l’association comptait 230 adhérents. Nous étions en auto-financement, grâce aux subventions et à l’organisation de festivités telles que des buvettes avec restauration. 

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Michel Trestard portrait
Michel Trestard - La Billig à roulettes - Foodtruck crêpes -Orléans
L'entrepotes
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